3 bonnes raisons d'investir maintenant !
Bien investir dans l’immobilier est certes une question d’emplacement mais il ne faut pas oublier un facteur déterminant : l’état du marché ! Depuis quelques mois, le bruit court que le marché immobilier va mieux et serait même sur le point de repartir à la hausse. Découvrez ici les 3 bonnes raisons d’être confiant, et de pourquoi pas, investir maintenant.
L'immobilier serait à nouveaux orientés à la hausse
Depuis le début de l'année, l’activité est en hausse comparé à 2014 et s’est fortement accélérée sur les 3 derniers mois. Même si le leader français Orpi affiche une hausse modeste de 4,5%, le réseau Century 21 affiche quant à lui une hausse de plus de 15% sur le premier semestre tandis que Guy Hoquet annonce + 9,4% sur la même période. Cette hausse de l’activité n’est pas uniquement liée à la hausse traditionnelle précédent la rentrée scolaire, puisque les périodes comparées englobent les premiers semestres de 2014 et 2015. Les acheteurs sont bels et bien de retour et ont à nouveau confiance en l’immobilier, un acquéreur met actuellement 4 mois entre le début de la recherche et l’acquisition contre 7 il y a encore quelques mois.
Outil développé par le site MeilleursAgents et lancé en 2011, il calcule le rapport de force entre les acheteurs et les vendeurs. Plus le nombre d’acheteurs est élevé et le nombre de vendeurs faible, plus les prix augmentent et inversement.
L’effet sur les prix :
Pour la première depuis sa création en 2011, l’ITI enregistre une hausse sur la plupart des grandes villes françaises et témoignent d’une tension accrue entre l’offre et la demande. La demande était certes faible, donc on ne parle pas encore de flambée des prix, mais une certitude, dans ces villes, la baisse est belle et bien terminée et c’est un cycle haussier qui s’annonce, synonyme de plus-value…
Découvrez les villes où l’ITI augmente :
Comme pour certaines villes, les taux des crédits immobiliers ont déjà commencé à remonter, mais on vous rassure, ils sont encore exceptionnellement bas avec par exemple selon Empruntis, sur une période de 20 ans, un taux de 2,7% soit le taux constaté en moyenne en novembre 2014. En revanche, il est vrai que les banques connaissent une hausse considérable de la demande de crédit, qui atteste certes du retour des acquéreurs mais qui peuvent pousser les banques à se montrer plus exigeantes sur les dossiers présentés… Les experts parlent de taux stables jusqu’à atteinte des objectifs annuels des banques avant une remontée plus marquée.
Pendant la crise, l’immobilier a été une valeur refuge et certaines villes n’ont d’ailleurs quasiment pas connu de baisse des prix de l’immobilier comme Toulouse ou Bordeaux par exemple. La situation est en train de changer et on assiste à une amélioration franche de la confiance des acquéreurs et investisseurs qui peut être annonciatrice d’une hausse durable des prix... N'attendez plus, vous risquez de passer à côté de bonnes opportunités !